Madame de Arkhamon Chapitre 3

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 10 ans

Le début est ICI

Chapitre 3 C'est la première fois qu'elle m'appelle par ce mot, car c'est exactement ce que je suis pour la journée: son petit jouet que son mari lui offre pour son anniversaire. Elle qui d'habitude sent la morsure du cuir et les piqûres peut aujourd'hui donner libre cours à sa perversité en m'utilisant. Monsieur reste en retrait pour ne pas priver Madame de l'utilisation de son cadeau, ce qui est une attention délicate et raffinée. Je m'exécute et apprécie au passage le frais du verre sur mes fesses qui me brûlent des cinglées de tout à l'heure.

"Oh attends, tu as oublié le coussin" Dit Monsieur à Madame. Je trouve le geste délicat, même si une lueur perverse traverse à cet instant les yeux de Madame. Monsieur amène un coussin assez plat et ferme, et quelle n'est pas ma surprise de constater qu'un des côté est garni de punaises pointes vers le haut!

"Tiens mon petit jouet, ça t'occupera l'esprit" dit Madame en tirant sur la laisse pour me soulever le bassin. Je ne peux que m'exécuter tant la morsure des pointes à l'intérieur du collier devient forte. Elle glisse le coussin en dessous de mes fesses, et relâche la tension sur la laisse.

"Tu peux te recoucher maintenant." Je me recouche et instantanément je sens des dizaines ou des centaines de petites pointes agresser mes fesses. Elles ne percent pas ma peau, mais rendent la position très inconfortable! Dieu que cette femme est désirable et perverse.

"Jeannette, vous pouvez servir le repas

  • Bien Madame" fait une voix que je n'avais pas remarquée auparavant.

Le domestique attitré au fonctionnement de la caméra et qui a suivi tous nos ébats depuis le début vient poser un pied devant moi, et fixe l'appareil dessus. L'image est projetée sur un écran géant descendu du plafond. Je constate que l'image montre parfaitement clairement mon corps étendu, avec au premier plan mes jambes et en arrière plan ma tête. Je vois les deux convives se placer à la japonaise de chaque côté de la table. J'en déduis simplement que le set de table, c'est moi…

Jeannette arrive avec le premier plat, une assiette de crudités qu'elle pose sur mon ventre. Avec un couvert, elle retient les aliments tandis qu'elle retire l'assiette, déposant sur mon ventre les crudités qui sortent du réfrigérateur. Le froid est intense, et je dois me contrôler. Ensuite, elle dépose une cuillerée de mayonnaise sur un de mes tétons, et une de vinaigrette épaisse sur l'autre. La encore le froid me saisit, mais je m'y attendais un peu. Madame s'empare d'une fourchette dotée de grandes dents pointues comme des aiguilles.

"N'oublies pas, petit jouet, qu'une table ne bouge pas. Même si ça pique, d'ailleurs ça va piquer, tu ne bouges pas..." me dit-elle dans l'oreille d'un ton presque affectueux.

Je vois Monsieur se saisir d'une fourchette identique. Madame pique alors une tomate cerise coupée en deux. La peau résiste, puis finit par céder, et ce faisant les dents la transpercent d'un coup, attaquant ma peau. J'esquisse un léger mouvement mais le réprime aussitôt. Elle me regarde droit dans les yeux, et la flamme que j'y vois me fait comprendre que je n'aurai pas d'autre tolérance. Toujours en me fixant droit dans les yeux, elle approche sa tomate de mon téton droit pour prendre de la vinaigrette.

Les dents de la fourchette dépassent d'au moins un demi centimètre. Elle s'amuse à passer et repasser la fourchette sur mon téton, en faisant bien attention de l'agripper à chaque fois, ce qui ne manque pas de provoquer une douleur intense. C'est le moment que choisit Monsieur pour lui aussi piquer une rondelle de concombre, en appuyant lui aussi un peu fort. Cette fois le contrôle est total, même quand il s'amuse avec mon téton pour la mayonnaise. Enfin quand leurs mets sont correctement couverts de mayonnaise, ils se détournent de mes tétons et mangent en discutant comme si de rien n'était. Je ne suis juste qu'un objet, mais cette sensation est grisante.

Jeannette vient aussitôt et à l'aide d'une petite spatule, refait délicatement les tas de mayonnaise et de vinaigrette pour que ça soit bien sur le téton. Je me prépare pour une seconde bouchée, en espérant que toutes ces émotions ne les ont pas trop creusés. Malheureusement pour moi, le repas risque d'être long car ils ont grand appétit. Et à plusieurs reprises, ils assaisonnent leurs bouchées de sauce, tout en prenant bien soin d'accrocher mes tétons au passage.

"Ne trouves-tu pas que ça manque un peu d'épices?

  • Oui en effet, c'est un peu fade.
  • Jeannette, apporte donc l'huile pimentée.
  • Bien Madame."

Jeannette apporte une petite soucoupe contenant à l'évidence de l'huile dans laquelle flottent quelques petits piments.

"A toi l'honneur ma chérie" dit Monsieur à Madame. Je la regarde et vois dans ses yeux un reflet que je commence à bien connaître. Que peut-elle bien avoir en tête? Elle se lève gracieusement, et se place entre mes jambes, légèrement décalée pour que la caméra ne rate rien.

"Replie les genoux, et ouvre bien ton cul petit jouet". Je m'exécute, en commençant à comprendre ce qui va m'arriver. Elle se place, et approche la main du plug qui ne m'avait pas encore quitté. Elle commence à tirer dessus jusqu'à ce qu'il sorte, et le donne à Jeannette.

"Va le nettoyer et reviens.

  • Bien Madame." Madame m'enfonce alors deux doigts dans l'anus, et commence à vérifier mon élasticité.

"Je crois qu'il sera à point pour tout à l'heure" dit-elle en regardant son mari. Elle s'approche de moi, et me présente ses deux doigts devant la bouche. Il n'y a pas besoin de plus de détails: j'ouvre et je commence à les nettoyer. Ils ont une légère odeur indéfinissable.

Quelques instants plus tard, durant lesquels Monsieur a continué à manger, Jeannette revient avec le plug. Madame l'approche alors et le trempe généreusement dans la coupelle d'huile dont il ressort ruisselant.

"Prépare-toi petit jouet. Les affaires sérieuses commencent" me dit-elle avec un rictus sadique sur les lèvres. Elle présente alors le plug sur mon anus, et commence à f o r c e r le passage. Elle n'a pas grand effort à faire, car la dilatation était déjà importante. Et l'huile permet de lubrifier. Le plug est maintenant entré en totalité. Puis tout à coup je comprends sa phrase. La brûlure commence. Terrible... lancinante... Je commence à remuer mon bassin pour échapper à cette torture, mais j'arrête vite pour deux raisons: la première est le coussin garni de pointes qui fait son office sous mes fesses, la deuxième est la voix que j'entends dans mon oreille:

"N'oublie pas qu'une table est un objet, et qu'un objet ne bouge pas petit jouet..." Un fois encore le ton est calme mais détermine. J'arrête immédiatement de bouger. J'ai l'impression que mes intestins sont en train de se consumer. Madame doit s'en rendre compte car elle me chuchote:

"Ca brûle petit jouet. Ne t'inquiète pas, d'ici une dizaine de minutes, ça se sera calmé...". Cette phrase me fait presque défaillir, car je ne suis pas sûr de pouvoir tenir dix minutes comme ça. Mais comme il le faudra bien…

"L'entrée est finie, tu peux servir le plat de résistance Jeannette.

  • Bien Monsieur" dit Jeannette en commençant à débarrasser la table, c'est à dire mon ventre. Elle retire toute trace de nourriture, y compris les sauces. Je découvre alors mes tétons. Je m'attends à y trouver toutes sortes de griffures, mais rien. Je suis rassure. Entre temps, Madame s'est rassise, et commence négligemment à me caresser le sexe, tout en approchant un de ses tétons de ma bouche.

"Lèche petit jouet. Lèche délicatement et donne moi du plaisir". Je sors ma langue et je commence à la faire courir tout autour du téton, puis je le prends dans ma bouche et le tourne avec ma langue. Je passe ma langue dans l'anneau et je tire tout doucement pour caresser l'auréole de mes lèvres. Une grosse pression sur mon sexe me signale que j'ai tiré un peu fort. Elle guide mes succions en accélérant les mouvements sur mon sexe. Je suis prêt à exploser, et elle le sent et arrête immédiatement ses attouchements pour les remplacer par une magistrale claque.

"Tu ne jouis pas maintenant. Et pas sans mon autorisation."

Je vois alors Jeannette arriver avec un plat, et le contenu du plat me fait frémir, me faisant presque oublier le feu dans mon ventre…

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